La génodique

L’invention de la génodique par Joël Sternheimer

La génodique est une nouvelle science qui étudie les effets de la musique sur les organismes vivants. Elle fut découverte par Joël Sternheimer dans les années 70. Ses travaux montrent qu’il est possible de soigner et renforcer les plantes ainsi que les animaux d’élevage en leur faisant écouter certaines mélodies. En étudiant les vibrations des particules de ces éléments biologiques, Joël Sternheimer découvre qu’ils sont traversés par des fréquences harmonieuses. Ces ondes permettent aux différentes cellules de communiquer entre elles. À l’aide des équations de la physique quantique, il mesure ces diverses fréquences. Chaque acide émet une onde unique dont la vibration correspond a une note musicale précise. Chacune des protéines, formées par une séquence particulière d’acides aminés plus ou moins longue, ressemble donc à une partition musicale inédite. Il est possible de reproduire ces mélodies sur un instrument de musique. Il existe autant de mélodies protéiques que de protéines. Ces chants des protéines furent baptisés « protéodies ».

Qu’est-ce qu’une protéodie ?

C’est une mélodie de protéine (protéine mélodie). Les protéines sont de grosses molécules, constituées d’assemblages spécifiques de 20 molécules nommées « acides aminés». C’est comme un alphabet, qui permet des combinaisons innombrables. Il existe des milliards de protéines différentes. Toutes les cellules végétales ou animales en produisent, avec les informations contenues dans leur génome. Les recherches de Joël Sternheimer ont montré comment associer une note de musique à chaque acide aminé. Chaque protéine ayant une combinaison originale, on peut donc lui associer une mélodie particulière : sa protéodie. Les observations jusqu’ici réalisées indiquent que les organismes vivants sont capables de reconnaître ces ondes sonores spécifiques. Nous savons aussi comment composer des protéodies en opposition de phase, qui ont un effet inverse (inhibition). L’expérience montre que la perception de ces deux types de protéodies peut stimuler ou inhiber la synthèse de tout type de protéine, de manière spécifique. Si elles sont bien choisies, les protéodies permettent ainsi de réguler, en cas de besoin, les processus biologiques dans lesquels des protéines sont impliquées. L’organisme concerné doit cependant y trouver un avantage : il conserve une part de libre-arbitre. Pour obtenir les effets recherchés, il est souvent nécessaire d’associer plusieurs protéodies, sélectionnées selon leurs fonctionnalités.

Exemple d’une mélodie d’un Camélia Japonica

L’invention de la génodique par Joël Sternheimer

Les plantes écoutent et nous parlent, alors installez-vous et apprenez à jouer avec elles car les mélodies des plantes sonorisées sont agréable pour elles aussi. Leurs expressions vibratoires peuvent être captées et amplifiées grâce à une diversité de matériels.
La génodique est une nouvelle science qui étudie les effets de la musique sur les organismes vivants. Elle fût découverte par Joël Sternheimer dans les années 70.
Qu’est-ce qu’une protéodie ? C’est une mélodie de protéine (protéine mélodie). Les protéines sont de grosses molécules, constituées d’assemblages spécifiques de 20 molécules nommées « acides aminés ». C’est comme un alphabet qui permet des combinaisons innombrables. Chaque protéine ayant une combinaison originale on peut donc lui associer une mélodie particulière : sa protéodie. On peut agir en l’activant ou l’inhibant. Si elles sont bien choisies une protéodie ou un ensemble de protéodies permettent de réguler le vivant. Comme pour les humains le végétal garde toujours son libre arbitre.

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